Le 1er juillet, le contrat de Carey Price entrera dans sa dernière année d’un engagement de huit saisons.
Même s’il n’a pas disputé un seul match depuis le 29 avril 2022, les Canadiens de Montréal se sont relativement bien débrouillés avec sa charge salariale de 10,5 millions de dollars par saison.
Mais maintenant que la reconstruction de l’équipe touche à sa fin, Kent Hughes et Jeff Gorton accueilleraient certainement à bras ouverts la flexibilité d’un tel montant retiré de leurs livres comptables.
Imaginez ce que le bureau de direction pourrait faire sans ce fardeau.
Ils n’auraient plus à jongler avec le plafond salarial dès le jour 1 de la saison pour intégrer son contrat — seulement pour ensuite le placer sur la LTIR (liste des blessés à long terme) dès le jour 2.
Vu comment le duo a opéré depuis son arrivée, il est clair qu’ils vont évaluer l’option d’échanger ce contrat. Mais est-ce vraiment réaliste?
Un échange du contrat de Carey Price : une option réellement viable?
Ces derniers jours, plusieurs personnes ont affirmé qu’elles seraient ouvertes à échanger le contrat de l’ancien gardien du CH.
Elles ont souligné que son salaire réel pour la saison 2025-2026 ne s’élève qu’à 2 millions de dollars, ce qui pourrait permettre à une équipe à petit budget d’atteindre plus facilement le plancher salarial (70,6 millions de dollars).
Cependant, dans un récent article, l’excellent Nicolas Cloutier a soulevé un point qui pourrait compliquer les choses pour Hughes.
Selon certaines informations, la prime à la signature de 5,5 millions de dollars de Price ne serait pas payable le 1er juillet, mais bien le 1er septembre.
Cela signifie que toute équipe acquérant son contrat avant cette date devrait elle-même assumer le versement de cette prime.
Ce n’est pas l’idéal, surtout si, comme mentionné plus tôt, seules des équipes “à petit budget” sont susceptibles d’être intéressées par ce type d’entente.
Et l’assurance, dans tout ça?
Étant donné que Price figure sur la liste des blessés depuis un bon moment, la question de l’assurance entre en jeu.
Dans son article, Cloutier suggère qu’environ 60 % du contrat (prime à la signature et salaire) pourrait être couvert par les assureurs.
Cela pourrait aider les Canadiens — mais rien n’est garanti, puisque les détails exacts du contrat ne sont pas rendus publics.
En résumé : échanger le contrat de Price est possible, mais demeure complexe.
Dans ce scénario, le journaliste cite les Sharks de San Jose (43,9 M$), les Blue Jackets de Columbus (41,27 M$), les Blackhawks de Chicago (30,97 M$) et les Ducks d’Anaheim (38,63 M$) comme équipes potentielles.
Elles pourraient plus facilement atteindre le plancher salarial en absorbant ce contrat.
SONDAGE
Échangeriez-vous le contrat de Carey Price contre des considérations futures?
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